On reprend les mêmes. On ajoute quelques nouvelles têtes. Certains décèdent. D’autres prennent la tangente. Quelques-uns ont soif de vengeance et n’hésitent pas à foncer dans le tas quitte à avoir de réelles surprises.

 

Tout est à refaire, à reconstruire. La méfiance surgit à nouveau. Le mode survie est à son maximum. Rien ne va plus pour la joyeuse troupe.

 

Si j’étais totalement sceptique pour les quatre premiers tomes, mon enthousiasme aujourd’hui atteint des niveaux totalement hallucinant. Pourquoi ? Je ne sais pas du tout ! Parce que l’histoire en soi est terriblement simple. Ce qui est dingue se sont les rebondissements interminables saupoudrés d’un brin de romance où l’espoir reste l’élément prédominant du scénario. Dans ces derniers tomes apparaît le sujet du pourquoi du comment avec éventuellement un début de réponse à tout ce merdier.

 

Bref, c’est hyper addictif. Sous son plaid en mode pied en éventail sans zombie au pas de la porte, je dirais que tout va bien dans le meilleur des mondes. Tant que cela reste de la fiction ! (Oui je suis une froussarde). 

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